Ajoncs et bruyères croissaient à l'envi sur ce rocher jadis couvert de terre. Les élégantes du Second Empire aimaient à y flâner.
Le spectacle devait bien être plus pittoresque lorsque Victor Hugo y vint, il y a un siècle et demi.
Hélas, ce qu'il redoutait s'est accompli. Biarritz a mis des " rampes à ses dunes, des escaliers à ses précipices, des kiosques à ses rochers, des bancs à ses grottes " et " même des pantalons à ses baigneuses " !