En 1912, le syndicat d'initiative concéda gratuitement à la Compagnie générale transaérienne " le droit d'occuper un
hangar à construire au bord du lac ainsi qu'un plan incliné pour la mise à l'eau des appareils hydro-aéroplanes
qu'il abritera ". En 1917-1918, le lac servit de base pour les hydravions (surveillance des frontières).