Le jardinier Jean-Auguste Darricarrère obtint le 15 octobre 1856 l'autorisation de l'empereur de prendre possession d'un terrain dépendant du rivage.
En 1858, des règles furent établies : permission accordée à Darricarrère, propriétaire de la "baraque de bains chauds", bâtie en partie sur le domaine communal et en partie sur le domaine de l'Etat, de jouir du terrain moyennant un droit de plaçage, droit de passer avec son tonneau attelé sur le chemin, de descendre son charbon sur des charrettes jusqu'à la baraque à charge pour lui de réparer les dégradations occasionnées par le transport et pour reconnaître ces faveurs " d'accepter le tarif imposé : 75 centimes pour un bain chaud d'eau de mer, 1 F pour un bain chaud d'eau douce, 3,50 F pour un bain de mer transporté à domicile. La vente du terrain sera définitive en septembre 1860.
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