Il y eut la fête russe et la fête japonaise auxquelles succèdèrent la fête de Neptune et celle de Bacchus. Pour les nuits d'Afrique, le jardin devint forêt vierge. Rien n'y manquait, ni les lianes, ni les animaux exotiques, depuis le gorille jusqu'au boa enroulé autour d'un...tamaris.
En 1926, les choeurs cosaques firent entendre tous les soirs les airs populaires russes, après quoi, sans transition, on dansait le charleston avec frénésie.
Le Prince de Galles, futur Edouard VIII, était un adepte convaincu de ses soirées. Les grands-ducs russes se croyaient revenus au pays et s'en donnaient à coeur joie. |